Contreplongé sur les lucarnes du projet.

Les Dominos

Le bâtiment côté rue se compose en deux volumes principaux séparés par une grande faille en creux marquant l’entrée de la résidence, les accès et les espaces communs et de service du RDC. Ces deux volumes sont ordonnancés dans leurs verticalités. Le corps principal est habillé de plaquettes grises foncées ; et le double attique est vêtu de zinc prépatiné anthracite. La grande faille est finie avec des plaquettes de couleur blanche pour accentuer sont impact. Cette composition classique est traitée d’une manière plus légère et contemporaine, notamment par le traitement des lucarnes. Pour animer la façade, les baies sont implantées verticalement avec de légers décalages. Certaines baies disposent d’un cadre saillant par rapport au nu de façade apportant des ombres portées. La façade en cœur d’ilot est travaillée en…
Lire la suite
Perspective rue Hoche depuis le 39

Le Trait d’Union

Le projet est pensé en transition avec les immeubles voisins, sous forme d’un ensemble bâti composé de quatre niveaux droits sur rez-de-chaussée et deux niveaux en attique successifs. Cette transition avec les voisins s’accompagne par un alignement des lignes de fuite. Celles-ci sont reprises par les corniches, les bandeaux architectoniques, les garde-corps et enfin la structure de la façade de l’immeuble. Le bandeau prolongeant le soubassement voisin se retourne de façon à mettre en valeur l’entrée de l’immeuble dans cet ensemble bâti. Le bâtiment côté rue se compose donc de deux volumes. Formant le corps principal du rez-de-chaussée au R+4, le premier volume est habillé en pierre beige, en rappel de l’immeuble voisin. Le second volume formé par le double attique est traité en retrait par rapport au corps principal…
Lire la suite
Pers frontale

L’Écrin

Deux données essentielles sont prises en compte : l’importante déclivité du terrain et la limite entre un tissu urbain mixte (dont dépend le projet) et une zone urbaine de tissu pavillonnaire. La volonté architecturale est d’accompagner cette transition entre les deux zones afin de ménager les immeubles et pavillons alentours. L’immeuble est composé en plusieurs séquences. Séquençage vertical : La hauteur maximale par rapport au terrain naturel est délibérément assez limitée, avec les deux derniers niveaux en retrait, et traités en attique. En effet, il n’est pas fait application stricte de la possibilité d’une hauteur supplémentaire prévue au PLU. Aussi, Le corps principal est visuellement perçu comme un R+1 depuis l’espace public. Séquençage horizontal : L’immeuble s’équilibre en 2 volumes séparés par une faille verticale pour former deux « pavillons…
Lire la suite
Photographie du projet

Le Livre Ouvert

L’expression architecturale et la volumétrie du projet s’inscrivent volontairement dans le caractère affirmé et unitaire qui se dégage de l’ensemble de l’îlot en briques rouges. Afin de ne pas produire une architecture brutale, le bâtiment est composé en trois volumes principaux permettant de « séquencer » la construction : Le Corps Principal, allant du R+1 au R+4, est habillé d’un parement en bardeaux de terre cuite rouge en continuité avec les immeubles voisins en brique. Les baies sont disposées en décalage les unes par rapport aux autres afin de donner une « vibration » aux façades, vibration accentuée par la présence de volets coulissants aluminium. Le Socle-Ruban, de verre et de béton poli blanc, assoit et unifie le bâtiment en développant les accès principaux de l’immeuble. Il permet de créer…
Lire la suite
Vue de la maison depuis la rue

Les Boîtes à Habiter

La volumétrie générale et le vocabulaire architectural s’inspirent des maisons de l’architecte André Lurçat. Ce dernier en a construit plusieurs dans les alentours et notamment à Sceaux (rue Paul Couderc) et à Versailles (rue René Aubert). Le RDC est traité en verre et béton brut architectonique et permet de créer un effet de « décollement » des volumes des étages. Le blanc des bétons des étages renforce le contraste avec le rdc. Trois « boîtes » blanches regroupant les chambres sont posées sur ce rdc de verre et de béton rassemblant les espaces de vie, et sont séparées entre elles par une faille de lumière accueillant l’escalier et les circulations horizontales sous forme de passerelles. Toutes les pièces ainsi que les circulations sont composées afin de bénéficier d’un éclairage naturel…
Lire la suite
Perspective état projeté sur jardin.

Les Briques Rouges

Phase 1/5 de la réhabilitation la résidence Bobillot-Sellier à Charenton-le-Pont (419 logements) : Création des 7 premières cages d’ascenseurs sur 36 au total.
Lire la suite
Façade de béton blanc et de verre.

La Faille de Lumière

Le Château réhabilité et l’Internat neuf sont reliés entre eux par « une faille transparente et de lumière » en triple hauteur sur le hall commun créé à RDC. Ainsi, cette « faille » redonne au Château « sa monumentalité perdue » lors de la construction de l’ancienne extension accolée et démolie. Elle permet, outre la liaison fonctionnelle entre les deux entités, la mise en accessibilité handicapée du château par la création d’un ascenseur double service. L’Internat et les Ecuries sont en communication au rdc par l’intermédiaire de la cuisine en continuité avec les salles à manger, s’ouvrant elles-mêmes sur un jardin intérieur en terrasses au sud, bénéficiant ainsi d’un agréable ensoleillement aux heures du déjeuner. L’extension neuve de l’Internat offre un vaste hall commun à rdc, au centre de…
Lire la suite

Dedans-Dehors

Le maître d’ouvrage souhaitait procéder à l’amélioration thermique et une revalorisation voir « un relookage » de celui-ci. Cet immeuble R+6/R+7 de 60 logements est implanté Nord-Est à l’alignement de l’avenue de la Liberté, axe urbain très fréquenté. En revanche, côté intérieur, se développe un beau jardin Sud-Ouest mais qui ne bénéficie pas au mieux aux logements. En effet, l’immeuble, de ce côté, n’est pourvu d’aucun balcon ni loggia et ne dispose que de petites ouvertures. L’immeuble est à ce jour comme un ensemble volumineux très « monotone ». C’est pourquoi il nous est apparu judicieux de proposer la création de vastes balcons-loggias côté jardin accompagné de l’agrandissement des baies des séjours des appartements. Cette intervention, en plus d’améliorer significativement la vue et la luminosité, permet d’agrandir l’espace de vie…
Lire la suite
Vue depuis l'avenue

Le Hêtre Pourpre

La mise en valeur de la Villa confrontée à la réalisation de logements collectifs a induit de traiter le bâti à construire le long du boulevard Desgranges comme un accompagnement de la Villa, sous forme de deux maisons de ville. Implantées en très léger retrait, mais dans un mouvement souple et courbe, ces deux « maisons d’architecte» s’accolent avec modestie contre la Villa, respectueuses de son échelle et de sa volumétrie. Leur expression architecturale s’inscrit volontairement dans le mouvement moderne de l’architecture, loin de tout pastiche, comme cela peut se découvrir à Sceaux. Le rapport à la coulée verte confrontée à la préservation du hêtre pourpre a induit l’implantation obligatoire du bâtiment le long de cette voie aux modes de circulations doux. Construction de 19 logements en accession et restructuration…
Lire la suite
Le jardin sur le toit.

Le Woodwork

Création d'un espace de coworking en jumelage d'une opération de promotion immobilière de 4649 m² (70 logements) – NF logements HQE – BBC Effinergie.
Lire la suite